Il s'agit de la deuxième exécution par décapitation annoncée en Arabie saoudite depuis le début de l'année, après celle du 8 janvier d'un Syrien condamné à mort pour trafic de drogue. Le viol, le meurtre, l'apostasie, le vol à main armée et le trafic de drogue sont passibles de la peine capitale en Arabie saoudite, qui applique de manière stricte la charia (loi islamique).
En 2012, 76 personnes avaient été décapitées, selon un décompte établi par l'AFP à partir de communiqués du ministère de l'Intérieur.
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